Son reflet – Tome 3 – Will
Auteure : Eva De Kerlan
Maison d’edition : Evidence
Chroniqueuse : Kay
Résumé :
Théo, trentenaire en couple avec Sonia, est mis dehors par cette dernière lorsqu’elle découvre via un reportage TV qu’une femme, qui se prétend sa compagne, le recherche et l’a signalé comme porté disparu. Elle est persuadée que Théo mène une double vie, ce qui n’est pas le cas. Théo est persuadé qu’il s’agit d’une erreur ou d’un sosie. Bien décidé à éclaircir ce mystère pour récupérer son appartement et sa femme, il traverse toute la France pour rejoindre l’endroit où cet homme vivrait. Mais lorsqu’il y arrive, tout le monde le prend pour le disparu.
Mon avis :
À peine terminé le tome 2 que je me lançais à cœur perdu
dans le tome 3, je voulais savoir. J’avais surtout besoin d’avoir réponse à mes
questions. Cependant, je crois que je n’ai jamais été autant dubitative en
terminant un roman que celui-ci. Ne vous méprenez pas, j’ai adorée le tome 3,
un brin moins que le tome 2, mais quand même j’ai dévorée chaque page et chaque
ligne. Ce tome est du point de vue de Will, il m’a fait battre le cœur à tout
rompre, il m’a aussi torturé. Dans ce tome nous savons enfin pourquoi il n’a
pas rejoint Sonia, mais bon sang, dans ma précédente chronique, je vous disais
que lorsque l’auteur répond à une de nos interrogations, trois nouvelles
apparaissent. Eh bien, le tome trois ne fait pas exception. Une fois la lecture
terminer, j’ai été stupéfaite, je me suis dit, non ! Non ! Non ! Pas possible !
J’ai même eu envie de faire une crise comme une gosse. Sérieusement, je vais
attendre le tome 4 de pied ferme.
Will m’a torturé, je n’ai pas compris certain de ses gestes
ou de ses réactions, mais au vue de ce qu’il a enduré je ne vois pas comment il
aurait pu réagir autrement. Mon seul bémol dans cette série c’est que les tomes
sont courts, cependant, c’est un simple caprice car l’auteure a un talent de
fou pour créer ses personnages et faire que l’on s’attache à eux.
Merci à Évidence Edition pour ce service de presse, ainsi
qu’à Eva De Kerlan.
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